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archives
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Les docs de La Maison du Jazz
Docs photos, animations, potraits jazz, affiches, vidéos, témoignages, archives...

La Maison du Jazz vous réserve quelques surprises issues de nos collections pour pimenter votre quotidien. Pour nous suivre et participer en temps et en heure aux différents posts, retrouvez-nous sur notre page Facebook : https://www.facebook.com/maisondujazzasbl

Retrouvez l'intégralité des posts des saisons 1 à 8 sur la seconde page de l'onglet Activités!

 

Jimmy's Gallery
Comblain 1986, deux fameux personnages du jazz liégeois. Un des deux, le guitariste, nous a quittés il y a quelques années, sans avoir jamais gagné la reconnaissance qu'il méritait pourtant largement. L'autre, le crooner, est toujours parmi nous, dans une maison de repos des environs.. Faut d'ailleurs que je lui téléphone un de ces quatre...

 

 

 

Dis, Papa, c'est qui sur la photo ?
Il y a à peu près 20 ans, ces quatre gaillards débutaient une sacrée carrière... © R. Miseur
 
 
Réponse: Hans Van Oosterhout, Sal La Rocca, Frank Vaganée, Mike Del Ferro
 
 
Une salle mythique...

Parmi mes plus grands souvenirs d'apprenti jazzfan, le Chapati de Spa figure en bonne place. Un lieu magnifique, chaleureux, tout en bois, une proximité absolue avec les musiciens.. Je me souviens de trajets en voiture un rien risqués, sous la neige, parce qu'il était impensable de rater ces concerts spadois.. On n'avait pas de sous donc on se contentait d'une bière pour la soirée (quitte à en siffler une ou deux en voiture sur le trajet). En tout cas, pour tout ça merci encore à Robert Delcourt. 

 

Dis, Papa, c'est qui sur la photo ?
Vous n'aurez sans doute pas trop de difficultés à reconnaître les musiciens. Par contre, je n'identifie pas la chanteuse. Je compte sur vous...

Réponse: Felix Simtaine (dm), Merri Hehuat (b), Jack Van Poll (p) et Yvonne Walter (voc)

 

Jimmy's Gallery...

Quand il parlait de lui, avant de nous quitter brutalement, notre ami Yoni disait toujours "mon petit papa"...
 
 
Léon Flechet....
 
 
Dis, Papa, c'est qui sur la photo ?
Merci à Jimmy Van der Plas d'avoir, en 1986, préservé cette équation hutoise de l'entropie !
 
 
Réponse: Jean-Pierre Catoul, Stéphane Galland, Éric Legnini et Robert Ortman!

 

Et une BD, une !:

John Lomax travaillait pour la Library et se disait chasseur de ballades. Avec son fils Alan, il a parcouru le sud des Etats-Unis et a littéralement fait des milliers d'enregistrements. Ils ont fait l'une des choses les plus importantes qu'un homme puisse faire : préserver le passé avant qu'il ne disparaisse à jamais."
Cette BD en hommage aux Lomax est sortie il y a quelques années déjà, mais si vous l'avez loupée, n'hésitez pas à vous la procurer. Frantz Duchazeau nous guide avec passion à travers ces territoires de la mémoire qui virent naître le blues, les spirituals, les work songs et à travers eux le jazz, le rock et quasi toute la musique non-classique du XXème siècle.
 
 
 
 

Dis, papa, c'est qui sur la photo ?

Quatre gamins qui jouent du saxophone et qui ne savent pas encore qu'ils feront bientôt partie des leaders de la scène jazz en Belgique. © J. Lepage
 
 
 
 

A la Jazz Station:

Mardi prochain à la Jazz Station, Jazz Portrait évoquant la longue carrière de Charles Lloyd, de ses débuts avec Cannonball à ses concerts récents, avec, notamment, à ses côtés, de grands pianistes comme Keith Jarrett, Michel Petrucciani, Bobo Stenson, Geri Allen, Gerald Clayton ou Jason Moran... En guise d'apéro, voici une version de Requiem, filmée en 2019, avant que le monde ne devienne fou. Charles vient de dépasser les 80 ans et on peut entendre à ses côtés, Julian Lage (gt) Gerald Clayton (pn) Reuben Rogers (cb) et Eric Harland (dms)

 

 

Un quiz photo:

Qui est ce beau jeune homme, capté en plein envol musical par V'Lo sur la scène du cinéma Le Parc en 1992 ?

Réponse: Benoît Vanderstraeten

 

La vidéo du jour:

1978. Madame Betty Carter a atteint depuis longtemps sa pleine maturité. Cet art de l’invention permanente. Cette manière, entre autres, de revisiter comme personne les standards. Et cette exigence dans le choix d’accompagnateurs qui allaient non seulement servir son projet musical, mais atteindre eux-mêmes un niveau et une intelligence jazzique qui leur permettront désormais de tout jouer. Pour ce concert à Kongsberg, la dame avait à ses côtés le pianiste John Hicks, le bassiste Ratzo Harris et le batteur Clifford Barbaro. Au répertoire, entre autres, cette belle relecture de This is always.

 

Une histoire de festivals:

1969, First International Jazz Event, au Sart Tilman, avec Miles en tête d'affiche (mon premier concert). 1972, 1er Festival International de Liège à Coronmeuse, avec Gato Barbieri en tête d'affiche (quoique, voir l'article). 1991. Premier Festival International Jazz à Liège. Liège a donc connu trois fois un "Premier Festival International de Jazz". En retombant sur un article concernant le deuxième (programmé par Jean-Marie Hacquier, j'ai retrouvé quelques étrangetés et quelques bizarreries, qui rappellent à quel point, plus encore à l'époque qu'aujourd'hui, il était difficile de monter un festival (pas plus que pour le festival au Sart Tilman, il n'y eut d'ailleurs de deuxième édition, contrairement au troisième (le bébé de J- Peterken) qui vient de connaître sa trentième édition. En 1972 donc, entre l'affiche annoncée et le festival en tant que tel (ce dont je me souviens en tout cas, j'avais 18 ans et il y avait évidemment des tas de musiciens que je ne connaissais pas - Gato par contre je l'avais entendu dans une émission de Nicolas Dor, je me réjouissais de l'entendre et je n'ai pas été déçu !). Mais indépendamment des horaires qui ont été complètement revisités, j'ai été scié de lire dans ce journal qu'étaient prévus initialement le trio de... Keith Jarrett et le groupe d'Herbie Mann, qui brillèrent...par leur absence (J-M H pourra peut-être nous dire pourquoi). C'est sans doute ce qui a valu à Rhoda Scott et à Jimmy Heath de se retrouver sur la scène du Palais des Sports. Pour le reste, Nucleus, Les Mc Cann, Thomas-Pelzer Ltd, Chris Hinze et pas mal d'autres nous ont offert eux aussi, à mes amis apprentis jazzmen et à moi, quelques grandes émotions. Merci pour ça et pour le reste, monsieur Hacquier...

 

Et une vidéo..:

1987. Horace Silver est au festival de Berne. Il y joue Filthy McNasty avec entre autres Vincent Herring au sax, la voix d'Andy Bey et un jeune trompettiste qui avait encore pas mal de cheveux à l'époque. Honnêtement, vous l'auriez reconnu ?

 

Dis, Papa, c'est qui sur la photo ?
Angela Lia trainait dans les coulisses de Jazz à Liège au temps lointain du Palais des Congrès. Elle y avait notamment croisé ces deux jeunes gens..
 
 
Réponse: Pierre Van Dormael et Fabrizio Cassol (Aka Moon électric...)
 

La vidéo du jour:

1971. Après Tony Williams et son Lifetime, en même temps que le Mahavishnu Orchestra et un peu avant Return to Forever, deux autres des "enfants de Miles" s'associent pour créer un des groupes les plus particuliers du jazz-rock naissant : Weather Report, un bulletin meteo de la musique de ce début de décennie. En août 1972, la première mouture de ce groupe pas comme les autres dans lequel les soli acrobatiques ne sont pas la priorité, est présente au festival de Molde, Norvège. Wayne Shorter et Joe Zawinul sont entourés du bassiste tchèque Miroslav Vitous, du batteur Eric Gravatt et du percussionniste Dom Um Romao. Qui démarre au berimbau cet Orange Lady publié sur le premier album du groupe.

 

J.J.'s Gallery
 
Le plus grand poète de la trompette depuis Bix, Miles et Chet n'est pas né aux States mais... en Sardaigne. Photographié par Jacques Joris à Dinant en 2009, alors qu'il regarde les étoiles pour les transformer en sons...

 
 
Dis, Papa c'est qui sur la photo ?
 
Nous sommes au Middelheim en 1995. Un sacré quartet avec un américain d'Amérique, un américain de Belgique, un Hollandais de Belgique et un Belge de Belgique.

Réponse:  Heyn van de geyn, peter hertmans, Billy Hart et john ruocco!!

 

Et une vidéo!!!:

Ce soir!!!, deuxième cours consacré à Chet Baker à l'Académie Gretry (18h45) et demain, à la Maison du Jazz, les Ateliers à 15h et la première soirée vidéo à 20h (entrée gratuite) : au menu, la carrière de monsieur Eric Legnini. En guise d'aperçu, un extrait du concert donné par Eric dans le groupe de Bruno Castellucci, en 1997, avec Erwin Vann et Sal La Rocca.

 

Goovy is groovy!

Les fameux cartons de bière de Gouvy. Celui-ci date de 1996, c'était la 17ème édition et il y avait notamment parmi les têtes d'affiche Slide Hampton, Archie Shepp, Ted Curson, Ricky Ford, et en apothéose monsieur Phil Woods qui, après avoir ronchonné parce qu'il n'avait pas d'accès Internet, a failli se faire jeter par le maître des lieux et a fini par donner un concert inoubliable avec le trio de Cedar Walton. C'est ça Gouvy, ça groove avant, pendant et après. Allez, je vais utiliser ce carton pour boire une petite bière à la santé de Jacques Lizène.

 

Electric Miles...

L'époque où une partie du fanclub de Miles Davis s'est détourné de lui et où, au contraire, il s'offre un nouveau public avide de sonorités électriques et de rythmes binaires. Si en studio, Miles pratique le puzzle sonore, en studio, après le quintet avec Chick Corea, il remplace Wayne Shorter par Gary Bartz, engage le jeune Keith Jarrett (révélé par Charles Lloyd) ainsi qu'une rythmique davantage funk que jazz (Michael Henderson à la basse électrique et trois percussionnistes). Extrait du concert donné à Oslo le 9 novembre 1971

 

J.J.'s Gallery
 
Il y a vingt ans, cette demoiselle (j'imagine que vous l'avez reconnue) était à l'affiche du Jazz à Liège. Aujourd'hui le festival est couvert, principalement, par Dominique Houcmant - Goldo et Robert Hansenne (n'hésitez pas à feuilleter leurs superbes albums Mithra Jazz à Liège 2021 ) A l'époque, au milieu des photographes jazz de la région, il y avait notre ami Jacques Joris, champion du portrait..

 

 

Une soirée concert des années 60':

Où ? Quand ?

Une soirée pas comme les autres : Jazz, fresques et lumière. Bill Coleman, Sadi et Christian Kellens sont les invités de l’orchestre de Jean-Paul Vanderborght (avec Johnny Dovers, Bodache, Paul Dubois etc). En première partie, l’ensemble jouera un blues traditionnel façon N-O puis le Now’s the time de Parker ; ensuite, Kellens s’exprimera sur In a sentimental mood, avant que Bill Coleman ne termine la première partie en jouant Moanin, St James Infirmary et Indiana. En deuxième partie, Bill Coleman revient pour un autre Moanin’, celui de Mingus cette fois, puis une compo intitulée Blues for Painters et Between the devil and the deep blue sea. Place à Sadi pour Dear Old Lady, It’s only a papermoon et Blue Monk. Avant le Bag’s groove final, Paul Dubois jouera Dear Old Stockholm. Tout au long de la soirée, un jeu de lumière illuminera les fresques d'aluminium d’Arie Mandelbaum (première partie) et de Raf Cleeremans (deuxième partie). Vu la présence du Moanin’ de Mingus (sorti sur l’album Blues and Roots de 1959), on peut situer cette soirée au début des années ’60. Si quelqu’un a une idée plus précise de la date et du lieu, on lui en sera reconnaissant…
 
 
 

Et une vidéo:

Au tournant des années '40/'50, Gerry Mulligan et Lee Konitz participent à l'aventure du nonet de Miles et, corollairement, à la naissance du jazz cool (Birth of the Cool). A côté de son quartet, Mulligan enregistre également (en 1953) quelques disques à la tête d'une formation plus étoffée, un tentet lui aussi 100% cool. Un peu plus de quarante ans plus tard, à l'époque de son concert au Jazz à Liège en quartet, l'homme recrée un tentet qui reprend plusieurs titres de ces épisodes clés des débuts du cool. A Vienne (France) le nouveau tentet reprend Godchild, Moondreams, Walkin' shoes.. mais aussi la version de Blueport que voici. Aux côtés du leader (bs) Art Farmer (flgh) Michael Mossman (tp) Rob McConnell (tb) Bob Routch (cor) Lee Konitz (as) Kenny Doderblom (ts) Ted Rosenthal (pn) Dean Johnson (cb) Ron Vincent (dms)

 

Le quiz du jour:

Dis, maman c'est qui sur la photo ?
(notez la jolie moustache du guitariste)
Photo © A. Lia
 

Réponse: Anfass avac Alain Pierre, Steve Houben, Fawzi Chekili et Yacine Ayari...!

 

Un concert au Palis des Beaux-Arts:

Février 1984. Stephane Grappelli est aux Beaux-Arts avec les fidèles Marc Fosset et Jack Sewing. Speciel guest : Toots Thielemans ! Le programme est dédicacé par tous les musiciens : remarquez le "Dans l'fond du temps" de Toots !

 

Le doc vidéo:

1957. Duke Ellington enregistre un album inspiré de l’œuvre de Shakespeare : Such Sweet Thunder. Ayant entendu l’album, Joachim Berendt le fait écouter à son ami Maurice Bejart qui, fasciné, décide de créer un ballet consacré à la rencontre entre les deux géants. En 1960, Berendt consacre à l’événement une de ses émissions Jazz gehört und gesehen. Dont voici un extrait intitulé Romeo and Juliet in Harlem. La rythmique du Duke est alors composée d’Aaron Bell et de Sam Woodyard, et dans ce mouvement, on entend notamment la sonorité magique de Johnny Hodges.

Cliquez sur le lien suivant: https://www.facebook.com/maisondujazzasbl/videos/3948775941893087

 

Dis, papa, c'est qui sur la photo ?
Trois belges, un américain, trois hommes, une femme, quatre improvisateurs réunis pour Jazz à Liège et photographiés par D. Libioulle...
 
 
Réponse: Michel Mainil, Barre Philips, Véronique Bizet et Antoine Cirri!
 
 
Le doc du jour:
Est-ce ce bal à Visé qu’évoque Leo Flechet dans une interview ? En entendant les Bob Shots jouer du be-bop et non le mélange de musiques de danse attendu, un des organisateurs s’était approché de l’estrade, furieux et avait beuglé « Eh, autre chose, hein, faudrait jouer de la musique ». Notez au passage les "quelques" petites fautes dans les noms propres (Bob Shot’s au lieu de Bob Shots, Peltzer au lieu de Pelzer, Bourgignon au lieu de Bourguignon, Leon au lieu de Leo). Deux mois après ce bal, les Bob Shots se reformeront une dernière fois pour le Festival de Paris (jouer au même programme que Miles et Parker, ça ne se refuse pas) et l’enregistrement des trois 78 tours Pacific (avec Sadi et Francy Boland). Et puis fin de l'histoire.
NB : Si quelqu’un a des infos sur l’énigmatique Willy Barbier, qu’il n’hésite pas à me contacter.
 
 
 
BOUT D’INTEGRALE
1964. Charles Lloyd atteint une renommée internationale en remplaçant Yusef Lateef dans le quintet de Cannonball Adderley. Deux ans plus tard, il crée un quartet unique pour lequel il s’entoure de trois futurs monstres sacrés : Jack de Johnette (dms) Cecil McBee (cb) et un jeune pianiste qui est à deux doigts de démarrer une des plus prestigieuses carrières de l’histoire du jazz : Keith Jarrett. Dès cette époque, son phrasé et son rapport à l’instrument fascinent. Plusieurs captations TV (dont une, superbe, de la RTB) sont réalisées pendant la tournée europénne de 1966. L’année suivante, avant que Lloyd et ses hommes ne plongent dans le feeling peace and love, le quartet change de bassiste : Ron McClure remplace McBee. Nouvelle tournée, avec escale à Pragues. Dans le morceau qui suit, les fans de Jarrett auront la surprise de voir leur idole péter un câble – en toute lucidité.

 

 

Le quiz du mardi 7 septembre:

Dis, Papa, c’est qui sur la photo ?
Il y a dix ans. Souvenir d’un concert gonflé d’émotion, où nous replongions dans les années ‘80/’90 pour y réentendre, avec à peu près les mêmes musiciens, ces arrangements que nous connaissions par cœur. Avec à la tête du navire, un capitaine Haddock radieux, replongeant dans le rêve de sa vie et nous entraînant à sa suite dans ce rêve. J’ai le souvenir de quelques larmes jubilatoires. Merci, Felix pour cette belle photo de l’ami Jos Knaepen qui devait hélas nous quitter quelques années plus tard.
 
 
 
Le Doc du 6 septembre:
Reprise des bonnes habitudes. Un jour sur deux, je vous proposerai comme l’an dernier une photo avec des musiciens à identifier, une video ou un document rare (programme, folder, lettre etc). Pour commencer, le programme d’un concert donné par Léo Souris en 1958 à Leopoldville avec ses Five Cats : en l’occurrence Herman Sandy (tp) Jacques Pelzer (as) Roger Asselberrgh (bs, cl) Léo Souris (pn) Benoit Quersin (cb) Georges Perret (dms). Né à Marchienne au Pont en 1911, mort à Liège en 1990, frère du compositeur classique André Souris, Leo Souris, avant d’être l’homme de radio, le théoricien du jazz, le parajazzique que l’on sait, avait d’abord cavalé de l’autre côté du miroir, comme pianiste, arrangeur, chef d’orchestre, un leader auquel ne manquèrent jamais de rendre hommage les musiciens qu’il avait aidé à progresser, Jacques Pelzer en tête. L’homme s’est éteint en 1990, rongé par la maladie : sa dernière pensée fut pour Thelonious Monk. A propos de Leo Souris, cfr entre autres Jazz in Time n° 13 et la notice publiée dans le Dictionnaire du Jazz à Bruxelles et en Wallonie.